Tempête en Corse : Météo France, peut-être à tort, au cœur du cyclone médiatique

Le 18 août 2022 une violente tempête avec des vents de plus de 200 Km/h s’est abattue sur la Corse faisant 5 morts et de nombreux blessés. L’alerte orange est passée au rouge moins d’une heure avant l’arrivée des coups de vent. De nombreux corses ont estimé, à juste titre, que l’alerte avait été donnée trop tard pour que les insulaires puissent prendre des dispositions préventives. J’ajoute au passage que le lancement d’une alerte rouge doit émaner de la Préfecture. Ce qui implique l’impossibilité de réagir suffisamment tôt quand de violents orages se déclarent presque instantanément.

Du coup (expression à la mode) Météo France s’est trouvé au cœur d’une polémique, les Corses suspectant la réduction de ses effectifs, notamment de nuit et en période de vacances, comme pouvant expliquer son « retard à l’allumage ». Ancien fonctionnaire, je présume que Météo France a su depuis longtemps ajuster ses effectifs d’astreinte même, et surtout en période de congés. Cet établissement public et administratif qui exerce les attributions de l’État en matière de sécurité météorologique dispose par ailleurs de moyens exceptionnels dont notamment deux super-ordinateurs (1) qui permettent d’affiner au plus près les prévisions.

Alors ? Tempête violente soudaine et Météo France dépassée par les évènements ! Qu’en concluez-vous ? Eh bien, c’est forcément le réchauffement climatique qui en est la cause. C’est ce qu’ont affirmé d’ailleurs la quasi totalité des médias, eux aussi dépassés par les évènements.

Pourtant, je subodore qu’il y a une explication bien plus plausible mais peu avouable : la géo-ingénierie dont personne ne parle mais qui pourtant se présente sous des traits plutôt sympathiques dont la Presse devrait louer les mérites plus souvent. Jugez-en par sa définition optimiste donnée par le site geo.fr : « Le terme géo-ingénierie est utilisé pour désigner des projets scientifiques visant à modifier le climat et l’équilibre énergétique terrestre pour lutter contre le réchauffement climatique« . Objectifs on ne peut plus louables !

Malgré son apparence plutôt rassurante la géo-ingénierie étrangement n’est jamais évoquée par les journalistes. Il est vrai que le terme plutôt abscons appelle des explications qu’il n’est pas aisé de fournir en quelques mots et de surcroît à des gens acquis depuis longtemps et pour la plupart, à la théorie du réchauffement climatique. Pourquoi compliquer les choses ? Il est donc préférable d’éviter le sujet d’autant que si l’on veut être complet sur la question, il faut aussi évoquer les effets pervers de la géo-ingénierie qui permettent, à distance, de provoquer des changements climatiques brutaux sans que personne ne s’en aperçoive (la preuve !)… à part les militaires et quelques personnes dans le secret des Dieux. Raison supplémentaire d’éluder la question.

Mon analyse est donc qu’une action volontaire sur le climat est à l’origine de la tempête corse, et j’irai même plus loin en affirmant que la sécheresse de l’été 2022 dont les températures observées en France n’ont jamais été égalées (plus de 40° à Lille le 18 juillet) ne peut être le fait qu’un effet de serre amplifié. Soyons réalistes et pragmatiques !

D’où la question qui vient à l’esprit : pourquoi une agression climatique sur le territoire français ? Tout simplement parce que notre pays est en guerre économique contre la Russie et que cette dernière use de tous les moyens à sa disposition pour riposter; notamment contre les mesures coercitives que lui impose l’Europe et ses eurocrates, ces derniers ayant pris fait et cause pour l’Ukraine (sans l’avis des populations d’ailleurs et qui vont payer les pots cassés dès cet hiver). Mais comment s’y est-elle prise ?  Simplement en utilisant de puissants rayons laser et des ondes basses fréquences similaires à ceux utilisés par les américains au moyen du système HARP.

Convaincu(e) ? Je ne suis pas sûr. En attendant, je vous ai donné matière à réflexion.  Mais pour vous persuader, voici l’avis d’un directeur du CNRS (Jean-Pierre Petit), dont les doctes propos, devraient vous interpeller. Son interview, portant sur les manipulations artificielles du climat, est contenue dans une vidéo de 20 minutes (passionnantes), proposée par le site ijulight.com (2). Elle se présente en 4 parties que les contraintes de téléchargement de mon blog m’oblige a segmenter en 4 petites vidéos.

Révélations édifiantes ou divagations d’un doux illuminé ? Vous pouvez désormais élaborer votre propre opinion mais tout porte à croire que la guerre climatique est une réalité. Maintenant, il va nous falloir apprendre à distinguer les tempêtes « ordinaires » de celles provoquées par l’homme. Si vous avez des idées…

Ignorant à l’époque l’avis de M. Petit, j’ai abordé prudemment la possibilité d’influer sur le climat dans deux anciens billets. Si, comme moi, le sujet vous passionne,  je vous invite également à les consulter.

Climat : les Chinois feraient la pluie et le beau temps (1)

Dérèglement du climat : caprices ou manipulations ?

Pour terminer ce billet sur une note positive, voire humoristique, et souhaitant oublier les propos pessimistes de ce chercheur, je voudrais appeler votre attention sur la première cause de chaleur – oubliée – sur notre belle planète et qui a pour nom le soleil. Nos spécialistes météo dans les médias parlent constamment de températures élevées en accusant l’effet de serre, la concentration de gaz carbonique, le comportement erratique des humains et j’en passe mais curieusement l’activité solaire, dont la variabilité est pourtant avérée (périodes de glaciation et de réchauffement qui se succèdent parait-il depuis la nuit des temps), n’est jamais mentionnée. Étrange non ? On ne serait pas en train de se tromper de coupable pendant que les militaires avec l’accord des grandes puissances tirent les marrons du feu ?

Si vous êtes toujours là, voici quelques explications sommaires mais basiques qu’il est peut-être bon de se remémorer sur la boule de feu que décrit le site Futurama-sciences en 2 minutes.

Peut-être une nouvelle manière de comprendre le réchauffement climatique sans accuser les Russes ou les Américains ? 🙂

(1) Météo France depuis 2014, serait équipé de 2 super-calculateurs Bull.

(2) Ce site nous montre par ailleurs la réalité des trainées chimiques (Chemtrails) grâce à des photographies prises sur des aéronefs civils et militaires. Sidérant ! J’y reviendrais certainement tant le sujet est brûlant.

Sources: image : futura.sciences.com- https://lilianeheldkhawam.com/2022/06/19/et-si-le-dereglement-climatique-etait-du-a-la-geo-ingenierie-une-solution-pire-que-le-mal/ – geo.fr – Vidéos : https://www.futura-sciences.com/sciences/questions-reponses/astronomie-temperature-soleil-6296/ – https://www.ijulight.com/chemtrails-haarp-geoingenierie-les-raisons-et-les-solutions/      https://www.ordissinaute.fr/site-internet/vie-pratique/2015-05-12-meteo-france –

image_pdfimage_print
N'hésitez pas à partager cet article

3 commentaires

  1. La météo n’est pas une science plus exacte que la médecine. Elle part d’un diagnostic à partir de ce qui est constaté sur des cartes météorologiques.
    Les météorologues n’ont pas dans des certitudes. Ils ne sont pas des héros infaillibles et les erreurs existent.
    Lors de catastrophes naturelles, nous crions vite haro sur le baudet. Nous sommes persuadés qu’il sait tout, peut prévoir tout. Partant de ce principe, nous nous estimons en droit de réclamer des dommages et intérêts. Mais où est notre responsabilité dans ces catastrophes ? Notre capacité à prendre des décisions.
    Les marins, en mer, tout en consultant les cartes « météo » restent responsables des décisions qu’ils prennent. Quant à nous, il faut nous prévenir qu’il va y avoir un vent de 10 – 20 – 50 – 70 – 100 – 120 – 140 km/h et ce qu’il faut faire. J’ai vécu à la pointe du Finistère et l’hiver des vents à plus de 100 km/h sont relativement courants. A l’époque, chacun savait ce qu’il fallait faire. Aujourd’hui, il faut nous expliquer qu’il faut prévoir le parapluie, qu’il faut rentrer les poubelles, qu’il faut… Demain, nous écouterons les râleurs invétérés quand ils crieront au scandale parce qu’ils n’ont pas été prévenus que l’éclair ou la foudre allait frapper à 20 mètres de chez eux.
    Après la tempête de 1987 en Bretagne, les méthodes de détection des vents violents ont été modifiées, mais pour autant, il est des phénomènes qui ne peuvent être prévus avec certitude aujourd’hui et même si l’on avait cette précision, il est certain que bon nombre de nos concitoyens n’y prêteraient pas attention. Lors de la dernière tempête en Bretagne, des personnes ont été emportées par la mer, des bateaux drossés sur des rochers, etc. …, pourtant tout était annoncé.
    Un dernier mot : pour moi, il n’y a pas de clairon de la défaite. C’est le clairon qui doit amener les citoyens à réagir et cesser de se lamenter en permanence.

  2. « Une action volontaire à l’origine de la tempête survenue en Corse » !!! Il y a déjà suffisamment de complotistes de par le monde pour diffuser pareille information. Par contre, j’ai également entendu les critiques dénonçant les retards de réaction de la part de Météo France. Enfin, la méthode est bien connue, pour trouver des boucs-émissaires. Ainsi, quand la température monte, c’est la faute du thermomètre. Cependant, durant ces dernières vacances, les Français ont bien du se rendre compte de la lourde note qu’ils devront payer en raison de services publics rongés jusqu’à la moelle. Donc, Météo France, donc les Urgences et l’Hôpital, tout comme la Sécurité Civile débordée (Pompiers, ONF) par les incendies. Or, tout cela résulte du travail de sape engagé par les politiques publiques successives et, au terme duquel l’intérêt général trinque toujours. On connait la rengaine : introduire l’exigence de rentabilité et entrer dans la spirale infernale du contrôle des dépenses, se focaliser sur les coûts plutôt que sur les besoins, commencer à négliger les infrastructures et feindre de s’étonner de leur dégradation. Ensuite, le cercle vicieux de la détérioration déjà largement engagé, ne reste plus qu’à expliquer aux usagers mécontents que l’ouverture à la concurrence représente la seule issue possible. D’où le fameux « No alternative » de Reagan et Thatcher des années 80, modèle scrupuleusement suivi depuis par nos « élites » européennes et nationales. Un chemin vers la libéralisation et l’ouverture au marché, en réalité promu et organisé méthodiquement depuis des années. Au vu des dernières conséquences de ces politiques dévastatrices, les Français n’ont plus que leurs yeux pour pleurer. Surtout les plus démunis. Dans un pays où le modèle social s’appuyait sur des services publics conséquents, cela sonne comme le clairon de la défaite.

    1. « Il est plus facile de tromper les gens que de les convaincre qu’ils ont été trompés. ». Mark Twain.

Les commentaires sont fermés.