En surfant sur le Net je suis tombé récemment sur un article du site Agora Vox consacré au réchauffement climatique. Cet article m’a interpellé car, me semble-t-il, il se place dans la suite logique des précédents billets de ce blog sur le sujet (3) et surtout confirme quelques vérités cachées..
Les glaciers « fondent comme neige au soleil« . Cela semble inquiéter la journaliste d’Agora Vox qui ne comprend pas que rien ne soit fait pour endiguer le phénomène du réchauffement climatique… « depuis le temps qu’on en parle » dit-elle. Il serait peut-être bon d’expliquer à cette jeune dame, « néo terrienne » 
qui manifestement manque de maturité pour approfondir le sujet, que si une grande partie de la population voit effectivement le baromètre grimper anormalement chaque été, les mers augmenter de quelques millimètres et les réserves d’eau s’épuiser rapidement, il n’y a pas matière à penser que la terre va s’embraser pour autant. Certains, au lieu de lancer des cris d’orfraie, ont compris depuis longtemps que la Terre avait des cycles et qu’il appartenait aux habitants de s’adapter (stockage de l’eau, allées pare-feu dans les bois et forêts, déplacement des habitations, des populations etc.). D’autres ont aussi compris que le dérèglement climatique était une formidable opportunité pour de nouvelles activités économiques (isolations des habitations, dedans comme dehors, panneaux voltaïques, pompes à chaleur, éoliennes, voitures électriques, puits à carbone…) et j’en passe. Comment nos grands-parents ont-ils pu vivre sans tout cela ? Une kyrielle de spécialistes et d’artisans surfent sur les préoccupations du moment avec plus ou moins de professionnalisme et de succès. Il existe enfin des gens dont le métier consiste à manipuler le climat à des fins pas toujours louables. J’y reviendrais plus tard.
La journaliste n’a pas peur de se contredire. Quelques paragraphes plus bas de l’article elle signale : «Depuis le 18 avril [2024], les bonnets et les gants sont de retour en plaine». J’ajouterai, mais pas qu’en plaine chère madame ! Dans les Alpes aussi !
A la lumière de ces deux exemples il apparait, et ce n’est pas nouveau, que selon le point de vue de chacun, on voit les choses différemment et parfois avec un manque d’objectivité certain. La bataille entre réchauffistes et les climatosceptiques n’est pas près de finir. Cependant, j’en conviens, l’homme n’est pas étranger à ce dérèglement que l’on peut constater, mais pas forcément là où l’attend !
Voici, pour illustrer mon propos, un dérèglement climatique pour le moins singulier qui a interpellé les médias mais sur lequel ils n’ont pas jugé utile de trop s’appesantir, dommage ! Je veux parler de la «tornade tropicale» qui s’est abattue sur Dubaï le 17 avril 2024. Les médias réchauffistes se sont emparés du phénomène pour conforter leur thèse mais certains d’entre eux ont adopté une attitude inhabituelle s’interrogeant sur une autre cause pouvant apporter un éclairage nouveau sur ledit phénomène. Avant d’en parler, voyons tout d’abord quelques images rapportées, pour l’essentiel, par des habitants témoins de la tornade et abasourdis par les dégâts occasionnés (vidéo de 3 mn).
La chaîne France 5 dans son émission «C’est à dire» a consacré aussi un court reportage sur le sujet. Et c’est d’elle que vient ma surprise ainsi que celle probablement de beaucoup de Français qui ont pu le visionner et peu au fait de ce qui se trame au-dessus de leur tête. A la fin du reportage que je vous propose ci-dessous (4 mn), le journaliste nous informe qu’il n’est pas impossible que les Émiratis en utilisant les techniques de la géo-ingénierie (1), ont peut-être joué les apprentis sorciers en essayant de faire tomber la pluie sur Dubaï. Je vous laisse découvrir ce reportage dont le sous-titrage (pas nécessaire) a subi quelques altérations.
Pour conclure, on constate que, tout doucement et timidement, les médias consentent à aborder l’action volontaire des hommes sur le climat. C’est une bonne nouvelle car on pourra désormais les interpeller sur des phénomènes météorologiques inhabituels. Pour les non initiés, le moyen dont il est question 
dans le reportage de France 5 est appelé cloud seeding (2) un procédé de déclenchement chimique de la pluie. Une des nombreuses manipulations appartenant à l’arsenal de la géo-ingénierie et sur laquelle je me suis étendu à plusieurs reprises dans ce blog (3). Le pied est dans la porte. Il ne reste plus qu’à la pousser. Les journalistes d’investigations notamment ne pourront pas rester silencieux longtemps sur ce sujet préoccupant pour la santé du vivant. Imaginez un seul instant qu’à la place du sel, (aluminium, baryum, strontium ou je ne sais quel autre produit chimique actuellement utilisé) (2), des nanoparticules bactériologiques soient introduites en toute discrétion dans les nuages passant au-dessus de nos têtes. Effrayant !!!
A l’attention des réchauffistes convaincus, je propose une vidéo complète sur le sujet (1h20).
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(1) «La géo-ingénierie regroupe les techniques utilisées par les humains pour contrôler, modifier et maîtriser l’environnement terrestre, c’est-à-dire le climat, les cycles naturels ou les écosystèmes». La géo-ingénierie vue par le site Wikipédia est différente et possède une définition croquignolesque et imprécise (en 10 lignes !) que je vous invite à consulter, retenir et diffuser dans votre entourage. 🙂
(2) Pour en savoir davantage sur le procédé d’ensemencement des nuages, voyez ce reportage qui nous transporte au cœur de l’action d’un faiseur de pluie. Profitez-en, vous n’aurez pas toujours cette opportunité. Au renvoi (4) un autre aspect d’ensemencement.
(3) Voici quelques uns des articles que j’ai précédemment consacrés au sujet : https://jean-de-pont-scorff.fr/?p=8823 – https://jean-de-pont-scorff.fr/?p=20296 – https://jean-de-pont-scorff.fr/?p=15724 – https://jean-de-pont-scorff.fr/2018/06/15/dereglement-du-climat-caprices-ou-manipulations/.
(4) Certaines techniques d’ensemencement se matérialisent par des Chemtrails (traînées chimiques) visibles dans le ciel et bien connus des militaires américains et d’autres pays (5)… Voici ce qu’en pense le magazine Le temps : «Toutes 
ces théories [complotistes] s’appuient sur deux documents américains: un brevet déposé en 1991, dit «patente Welsbach», qui décrit une méthode pour réfléchir le rayonnement solaire grâce à des particules en suspension et ainsi limiter l’effet de serre, et une étude publiée en 1996 conduite par sept militaires de l’Air War College affirmant qu’en 2025 «la modification des conditions météorologiques fera probablement partie de la politique de sécurité nationale, avec des applications tant nationales qu’internationales»». Chers ami(e)s préparez-vous au pire.
(5) Le site chemtrails-france.com nous apporte, entre autre, tous les renseignements utiles sur les brevets enregistrés depuis plusieurs décennies (voir la petite photo ci-dessus).
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Sources : photo du billet : France TV – France 5 C’est à dire – https://destination-dubai.fr/fr/blog/decouverte-dubai-insolite/l-ensemencement-des-nuages-ou-cloud-seeding-a-dubai – https://www.youtube.com/watch?v=zEjq1ANv6wA – https://youmatter.world/fr/definitions/geo-ingenierie-definition-exemples-technologies-limites/ – https://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9oing%C3%A9nierie – https://www.letemps.ch/societe/chemtrails-trainees-blanches-nos-cieux-sement-doute – https://www.conservation-nature.fr/ecologie/la-fonte-des-glaces/.
J’avoue qu’avec ma petite culture scientifique je suis assez réservé sur les discours lénifiants ambiants ou nos autorités usent et en abusent de l’excuse du réchauffement climatique, le climat à toujours varié, oublions les apprentis sorciers qui veulent localement réguler leur climat. De nombreux bouquins sont très largement accessibles je citais Steven Koonin mais aussi l’historien le Roy Ladurie ou François Gervais et bien d’autres. Autre chose, traîne sur mon bureau un bouquin intitulé « La fin de l’Eau » de Simon Porcher Ed Fayard, un sous titre au hasard : « Reconnecter les politiques de l’eau à l ‘aménagement du territoire ».. Combien de perte par les fuites des réseaux et est-ce une priorité ?
https://ntdtv.fr/decarbonation-et-rechauffement-climatique-et-si-on-se-trompait-dobjectif/
Entre les optimistes démesurés qui crient que l’homme a toujours su s’adapter et les pessimistes qui crient à la catastrophe, il n’est pas évident de se faire une idée, surtout quand on est comme moi, totalement ignare sur les conséquences climatiques
En fait, je n’en ai qu’une question : quelles capacités à l’homme pour s’adapter à cette mutation climatique avec ses conséquences sur notre environnement naturel et sur notre physiologique ?
Oui, il s’est adapté, l’homme, mais au prix de combien de milliers ou de millions de morts ? Si l’on suppose une catastrophe avec une évolution de température jusqu’à 2, 3 ou 5 degrés voir même plus, quels peuples survivront et avec combien, cette fois-ci de millions de morts parmi les tranches les plus pauvres des sociétés? Nous, en France, nous aurons peut-être plus chance que les personnes vivants en Afrique ou dans des pays similaires. Il me semble que c’est vers les années 1950 que la zone des polders a été submergé et quelques 1800 personnes sont décédées. Bien des années plus tard, il a été décidé de créer des protections. Aujourd’hui quelques 60 ans plus tard, il faut relever le niveau des protections.
Combien de ceux qui lisent les articles sur le climat seront encore en vie à la fin du siècle ? Après tout il ne reste que 76 ans. Beaucoup de jeunes couples ne procréaient plus car il ne veulent pas que leurs futurs enfants soient confrontés à une situation climatique qui risque de les tuer, encore que compte tenu de ce qui se passe actuellement dans la société française, ils auront peut-être la chance de se faire trucider ou tuer et cela sans savoir pour quelle raison, mais n’ayant pas à vivre les bagarres, bien plus violentes qu’aujourd’hui, pour survivre à la fin du siècle
Climat ou tueries n’amènent aucune vraie réaction de la part du citoyen français. C’est une indolence caractérisée en France.