COVID-19 : Vous pouvez échapper à la vaccination – Les lois vous protègent

Au moment où l’opération vaccinale française monte en puissance (seul moyen parait-il pour venir à bout du COVID-19) et où les médias semblent avoir réussi leur opération de communication sur la nécessité de la vaccination auprès du public, il me semble opportun de rappeler qu’aucune loi en Europe, pas plus qu’en France, n’oblige quiconque à se faire vacciner !

Actuellement on entend peu les anti vaccins s’exprimer. Ils étaient pourtant nombreux quand la vaccination n’était encore qu’un projet. Il est probable qu’un grand nombre d’entre eux, perturbés, aient fini par céder au chant des sirènes médiatiques. Mais il doit rester des irréductibles gaulois, ou alors le pays a perdu son âme contestataire !

C’est à eux que s’adresse prioritairement ce billet car je subodore que parmi la population il est des gens qui s’interrogent sur les moyens à mettre en œuvre pour y échapper. Qu’ils se rassurent, la loi ou plus exactement des lois existent pour leur venir en aide. Ces lois seront-elles suffisantes face aux subterfuges que mettront en œuvre les pouvoirs publics pour convaincre  (passeport vaccinal, QR code, éventualité d’une obligation coercitive et autres moyens qui ne manqueront pas de fleurir) ? Pas sûr ! Mais on peut contourner l’insistance affichée par les médecins et les administrations même si, pour quelques uns, ce sera plus facile  (je pense à certains retraités, sans comorbidités particulières, plus indépendants et dispensés de comptes à rendre) .

J’ai puisé mes sources dans un billet documenté sur le sujet et proposé par le site Exoportail. Je vais donc synthétiser les éléments développés par ce site. Les lois ne manquent pas. Récalcitrants, sachez-le, vous êtes dans vos droits en exprimant votre refus ! Et si l’on vous reproche de « la jouer perso », n’oubliez pas de rappeler que nous vivons une époque particulière où l’individualisme est roi et la contestation un mode de vie. Oserait-on vous blâmer pour avoir un avis différent alors que tout le monde revendique son droit au libre arbitre ? Qui plus est, il serait mal venu qu’il vous soit reproché votre manque de solidarité alors qu’elle est inexistante là où elle devrait être exemplaire.

Voici les différentes lois auxquelles vous reporter si vous êtes vraiment réfractaires à la vaccination et particulièrement celle anti Covid. 

Pour la France :

Pour l’Europe :

  • La Convention européenne des droits de l’homme (4 novembre 1950). « La Convention consacre le principe que la personne concernée doit donner son consentement éclairé préalablement à toute intervention dans le domaine de la santé, sauf dans les situations d’urgence [ndlr : non précisées], et qu’elle peut, à tout moment, retirer son consentement« .

Au vu de toutes ces dispositions réglementaires il n’y a donc aucune ambiguïté possible. On ne peut obliger quiconque à se faire vacciner que ce soit dans notre beau pays ou ailleurs. Malheureusement pour les antivaccins, le corps médical peut trouver des exceptions notamment si vous n’êtes pas en état physique ou mental pour formuler votre désaccord. On peut facilement imaginer plusieurs scenarii donnant tout pouvoir au médecin lorsque par exemples vous vous trouvez dans un état d’inconscience et que lui estime, pour votre bien et celui d’autrui, que la vaccination s’impose. Ou encore, comme cela s’est passé dans les EHPAD, où on a jugé arbitrairement que beaucoup de personnes âgées n’avaient plus leur tête et qu’il fallait penser pour elles.

Comme je l’ai indiqué dans un précédent billet, ce libre choix peut s’appliquer aussi à vos enfants dont vous avez la responsabilité et particulièrement aux nourrissons de 2 ou 3 mois auxquels la science médicale a considéré nécessaire de leur injecter, sur une courte période, 11 vaccins; sachant pourtant pertinemment, depuis la nuit des temps, que la mère transmet ses anticorps à l’enfant (1). Les parents résignés s’y soumettent, sinon, pas de crèches ni de maternelles (2) ! Le message est clair.

Pour en revenir aux adultes, si malgré votre opposition justifiée à la vaccination vous vous heurtez toujours à l’intransigeance du corps médical, il vous reste une dernière chance ou plutôt un dernier argument de poids, la lettre à votre médecin Celle-ci, telle qu’elle est rédigée, engage sa propre responsabilité en cas d’effets secondaires graves pouvant survenir après l’injection. Les questions qui y sont abordées ne peuvent que l’inciter à la prudence. Vous aurez gagné et vous resterez libre mais il vous sera peut-être plus difficile de voyager (pour y attraper d’autres virus ? 🙂 ) et d’accéder aux lieux de divertissements. Le libre arbitre sera peut-être à ce prix si la vaccination devait obligatoirement se généraliser.

La vie est une succession de décisions, pas toujours faciles à prendre, je le reconnais. Faites ce qui pour vous est le bon choix.

(1) La première vaccination n’est pas très ancienne. Elle remonte à la fin du 18ème siècle (vaccine). L’humanité à su s’en passer pendant 40.000 ans. L’homme a progressivement renforcé ses défenses naturelles au cours de son histoire. Ceci explique probablement sa résistance tout au long de cette période où il a dû faire face à de nombreuses épidémies.

(2) Bon à savoir : Le carnet de santé est un document qui contient les éléments d’information médicale nécessaires au suivi de la santé de l’enfant jusqu’à ses 18 ans. Son utilisation est réservée aux professionnels de santé et sa consultation soumise à l’accord des parents.

Deux doubles pages insérées dans le carnet sont consacrées aux vaccinations et portent chacune un numéro de formulaire (cerfa n°12594*01 et n°12595*01). Leur photocopie a valeur de certificat de vaccination. Ainsi, le carnet n’a pas à être présenté lors de l’inscription à l’école ou dans une collectivité.

Photos : Internet – Sources : ExoportailInfo vaccins FranceSpirit soleil.

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6 commentaires

  1. Cette pandémie nous montre combien nos sociétés sont fragiles et nous pouvons observer que cette catastrophe est surtout celle de la pauvreté de la misère du mal logement, sa gravité révèle la difficulté des personnes à ce faire soigner dans un secteur public de qualité, d’ailleurs le seul critère de gravité qui tienne la route est à mon avis celui de l’encombrement des hôpitaux. Aux USA 40 % de la population est marginalisée médicalement quand au Brésil, en Inde et ailleurs, parfois en refusant les mesures de bon sens mais en avaient-ils le choix, si vous avez des moyens vous accédez aux hôpitaux privés d’une belle qualité. En France, les gens qui nous gouvernent ce sont ceux qui ont appliqué des objectifs de rentabilité et la tarification à l’acte comme si la médecine se pilotait avec un joystick par contre réfléchir sur un plan d’action pour faire face à une pandémie virale ça s’est trop compliqué. Le sommet de l’Everest est atteint par l’interdiction des médecins à prescrire certaine molécules. Vivement l’intelligence artificielle avec un pilotage direct chez bigpharma vous n’aurez qu’a insérer votre carte pas la vitale, l’autre. Bref, que sera la société dans deux ans avec ce chômage et la monté des tensions tant intérieure qu’internationale, prions mes frères.

    Bientôt les élections avec leurs bavardages, leurs promesses et leurs coups tordus, il faut aller voter, je répète, il faut aller voter lorsque 70 % d’une population vote l’impact n’est pas le même qu’un petit 23 %.

    Si vous êtes comme moi un P’tit vieux ou une personne à risques ou un peu faiblard alors n’hésitez pas faites-vous vacciner, j’ai reçu mes deux doses.

  2. Il paraît aussi que : « La liberté de chacun s’arrête là où comme celle des autres ». Donc, chacun fait ce qu’il veut, à condition de ne pas porter préjudice et faire courir des risques aux autres. C’est exactement ce qui se passerait si une majorité de la population refusait de se faire vacciner. C’est aussi pourquoi il importe de vacciner la population mondiale, sinon la covid et ses variants continueront à faire des dégâts. Un exemple parmi les plus édifiants est celui du Brésil dont le président a refusé jusqu’à maintenant les mesures nécessaires afin d’enrayer la pandémie. En conséquence, lorsque l’on vit en société, on est responsable pour soi-même, mais également pour sa famille, ses amis et plus largement son environnement.

    1. Bonjour,
      Je reçois votre réponse comme un écho (sans contenu vraiment justifié, mais plutôt comme une injonction de « devoir » : « Ne le faites pas pour vous, mais pour les autres »).
      C’est ce qu’on entend/lit/voit comme leitmotiv géneral sur les mainstream. Mais qu’est-ce que cela veut dire ?…
      Que je fais prendre des risques à mes proches si je ne me fais pas Vacciner?…
      Mais alors, dans le cas où la majorité de la population mondiale ne serait pas vaccinée, voulez-vous dire que cela sous entendrait que les non-vacciné•e•s mettraient en danger la santé des vacciné•e•s ?
      Mais alors, si c’est le cas, à quoi serviraient les vaccins s’ils ne protègent pas les personnes ayant choisi de le faire ???…
      si les personnes
      Nous sommes bien d’accord que le COVID (je fais exprès de conserver un article masculin) COVID est une grippe Sars cov* il n’y a d’ailleurs quasiment plus de cas de grippe »habituelle » depuis le COVID !).
      Et nous sommes bien d’accord que les Corona virus circulent depuis pas mal d’années maintenant (2002, 2003, rappelons-nous de la H1N1 de 2008 ou 2009 …)
      Partant de ce postulat, où avez-vous noté que le•s vaccin•s avaient « éradiqué la maladie et ses variants » ?…
      D’autre part, si vous allez voir les chiffres (et pas seulement ceux qu’on vous donne, cherchez par vous-même aux sources à moindre conflits d’intérêts, prenez plusieurs opinions, comparez, reliez…), vous constaterez que ce n’est pas une pandémie.
      Il ne faut tout de même pas oublier que seulement 0,05 % de la population est menacée de mort par le COVID. Ce sont d’ailleurs des personnes qui n’ont pas pris soin de développer naturellement leurs défenses immunitaires et qui ont, par excès de confiance et justement par manque de responsabilités vis-à-vis d’elles-mêmes, fait n’importe quoi dans le « soin à elles-mêmes » (alimentation industrielle, stress, sédentarité, abus de médicaments, auto-emprisonnement dans des « devoirs » imposés … donc des personnes qui ne sont ni libres, ni confiantes, qui sont sous pression : peur de perdre leur travail, de ne pas pouvoir honorer la vie à crédit qu’ils on choisie, peur de perdre leur « place » durement gagnée au sein du système, d’attraper des maladies, de mourir…).
      On ne peut pas leur en vouloir puisque nous choisissons chacun•e notre vie et c’est un droit.
      Par contre, demander aux 99,95 autres pour cent de se « sacrifier » à cet « abandon de notre pouvoir sur notre santé », c’est là où l’injonction devient non-sens.
      Je suis responsable : responsable de moi-même, de mes enfants, de mes proches (sans intrusion ni jugement envers leurs propres choix), je suis en bonne santé, je ne suis pas vaccinée et je ne le serai plus jamais. Ma confiance s’est définitivement évaporée depuis 2020.
      Je protège les autres en prenant soin de moi et surtout en faisant bien attention à rester heureuse et en adéquation avec mes valeurs profondes. Diplômée en Sciences Humaines et sociales, je travaille auprès de personnes fragiles et je fais du bénévolat. je ne suis ni une enfant (mes enfants seront bientôt majeur•e•s), ni une débile, je n’ai jamais eu la tv, même sur mon téléphone… je lis et je me fais mes propres constructions. Je suis appréciée car comme je suis libre, heureuse et en bonne santé, alors j’ai BEAUCOUP d’énergie pour dynamiser mon entourage pro et perso et ainsi partager, faire ruisseler le « care » (soin aux autres) ce qui développe un bon système immunitaire naturel.
      Du coup ma réflexion sera alors là suivante : prenez soin de vous en tout premier, et lorsque vous aurez touché la joie de vivre, alors vous serez assuré d’une bonne santé et de l’envie de prendre soin des autres.
      Rappelez vous que les virus/bactéries/microbes… sont déjà en nous, ils se déséquilibrent avec nos vies industrialisées et normées et nous font « tomber malade » uniquement lorsque nous nous éloignons de notre Nature profonde.
      Voilà. En aucun cas je ne m’érige contre vous ni contre votre propension à obéir à ce que vous pensez être un devoir. J’ai un proche militaire qui tient une opinion presque exactement identique à la vôtre, et je respecte bien l’individu et ses choix en général.
      Bien cordialement,

      1. Vous rejoignez mes interrogations, je considérais aussi qu’un vaccin évitait la maladie comme se fut longtemps le cas, en l’espèce devrait-on parler d’atténuation pour réduire les cas graves ? Faisons confiance à nos chercheurs pour mieux aider nos communicants qui peinent à trouver les mots justes pour informer le petit peuple afin qu’il rende hommage à César.

  3. C’est la liberté de chacun de se faire ou de ne pas se faire vacciner. Ceux qui se font vacciner prennent un rixe, certes limité, mais rixe malgré tout d’avoir des conséquences pour leur santé. Quant à ceux qui ne veulent pas se faire vacciner, ils doivent également accepter les responsabilités qui sont inhérentes à leur choix.
    Si j’attrape le virus en étant vacciné, il apparaît que je risques moins de conséquences que si je ne l’étais pas.
    Si je ne veux pas me faire vacciner, il m’appartient de le crier haut et fort et de porter sur moi un document signer de ma main dans lequel je stipule que j’accepte en totalité les conséquences du virus et qu’en aucun cas, je ne saurais être prioritaire pour être soigné. A la limite, je ne veux aucune assistance et me soignerais sans l’aide des personnels médicaux.
    Il faut que les citoyens français prennent conscience qu’ils sont responsables de leurs actes et qu’ils en assument les conséquences.
    Comme Il est dit que sur 100 personnes il y a 80% de personnes intelligentes et 20% d’imbéciles et qu’actuellement il apparaît qu’il y a environ 80% de la population qui veut se faire vacciner, je laisse le soin à chacun de savoir dans quel groupe il se met. Il ne m’appartient pas d’émettre le moindre jugement.

    1. Dans les 80% qui veulent se faire vacciner se trouvent (peut-être?) les 20% d’imbéciles…..

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